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  • Sens Propre : Habiter une maison neuve.
    Sens Figuré : Etre le premier à subir les conséquences fâcheuses d'une situation expérimentale ou d'une période de nouveautés.

    "Essuyer les plâtres" est une expression connue depuis 1783 mais n'entre dans les dictionnaires qu'à partir de 1835. Ce retard est sans doute dû à la pratique peu convenable associée à cette locution.

    Le plâtre désigne le sulfate de chaux hydraté que l'on emploie en construction (puis par métonymie ce qui est fabriqué en plâtre), ainsi lorsque l'on se trouve être le premier à habiter une maison neuve où le plâtre est encore humide on "essuie les plâtres"! Cette situation causait de nombreux désagréments physiques...il semblerait qu'à l'époque on donnait ces maisons aux filles publiques jusqu'à ce que les plâtres soient secs, c'est alors qu'on les mettait dehors sans façon pour récupérer et habiter le logement. Peut-être est-ce alors la situation de ces femmes qui a donné naissance au sens figuré de cette expression: être le premier à subir les difficultés, les conséquences et les désagréments d'une situation nouvelle, d'une période d'essai.


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  • Avoir une vie désordonnée, agitée, une vie de plaisirs et de débauche.


    S'il est vrai que les chaises en bois sont en partie un assemblage de « bâtons », pourquoi auraient-ils une vie trépidante à l'origine de l'expression ?

    En réalité, il faut remonter dans le temps, à l'époque des chaises à porteurs comportant deux grands bâtons latéraux servant à porter la chaise et son contenu humain.

    Après, les avis divergent sur l'origine de l'expression.

    Elle pouvait venir du fait que les bâtons étaient constamment manipulés, soulevés, posés, tirés pour dégager la porte de la chaise, remis en place...
    C
    es bâtons avaient une existence très peu reposante, ce qui explique l'expression dans laquelle l'idée d' "activité excessive" a peu à peu fait place à l'idée de "vie désordonnée".

    Mais elle pouvait aussi venir de la vie que menaient les porteurs, toujours en déplacement puis à attendre le retour du propriétaire de la chaise, de préférence dans les lieux de débauche (tripots, bordels...) dans lesquels ils transportaient leurs bâtons avec eux pour ne pas se les faire voler, la vie des bâtons étant alors assimilée à celle des porteurs.


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  • Payer en grimaces ou en fausse monnaie, au lieu de payer réellement.

    Au XIIe siècle, Saint-Louis décida qu'il faudrait payer une taxe pour emprunter le pont qui, à Paris, reliait l'île de la Cité à la rue Saint-Jacques.

    Il y avait toutefois une exception à cette règle : les forains, bateleurs ou jongleurs qui possédaient un singe pouvaient, en guise de paiement, faire faire son numéro à leur animal.

    C'est cette forme de paiement particulier qui a donné naissance à notre monnaie de singe.

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  • AIDEZ-MOI A RETROUVER NOTRE CHER CORRECTEUR

    DISPARU ALORS QU'IL SE RENDAIT EN ANGLETERRE
    DANS LE CADRE D'UN SEJOUR LINGUISTIQUE
    DANS LA NUIT DU 29 AU 30 AOUT 2006

    IL A ETE APERÇU POUR LA DERNIERE FOIS SUR CE BLOG
    LE MARDI 29 AOUT 2006 A 18H24

    JE N'AI MALHEUREUSEMENT AUCUNE PHOTO A VOUS FOURNIR
    NI AUCUN INDICE PERMETTANT DE L'IDENTIFIER PHYSIQUEMENT

    SI VOUS DISPOSEZ D'INFORMATIONS SUR LA DISPARITION
    OU LE LIEU DE SEJOUR ACTUEL DU CORRECTEUR, VEUILLEZ ME CONTACTER

    EN INTERNE SUR CE BLOG :
    HTTP://ECRIRECESTHURLER.BLOGG.ORG
    OU A CETTE ADRESSE :
    ECRIRECESTHURLERENSILENCE@HOTMAIL.FR

    MERCI DE VOTRE AIMABLE COLLABORATION


    P.S. : CORRECTEUR SI VOUS LISEZ CET AVIS, MERCI DE ME CONTACTER LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE
    (SERIEUSEMENT !! VOUS N'AVEZ PLUS L'AGE DE FAIRE UNE FUGUE !!)

    P.S. 2 : AUX RAVISSEURS DE NOTRE CORRECTEUR, NOUS SOMMES PRETS A EXTORQUER DES FONDS A BLOGGLAND POUR PAYER LA RANCON

    P.S 3 : JE RECHERCHE POUR L'OCCASION UN CO-GERANT POUR CE BLOG


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